Comment McDonalds a amélioré son image auprès des agriculteurs français – Cosmo Sonic

McDonald’s France, le géant du fast-food, met en avant son engagement envers l’agriculture française dans une récente annonce. Selon l’entreprise, 75% de ses matières premières agricoles proviennent de France, démontrant ainsi son attachement à l’agriculture tricolore.

La filiale française de McDonald’s affirme également payer les agriculteurs à un prix rémunérateur, basé sur les coûts de production. De plus, l’entreprise signe des contrats pluriannuels avec un maximum de producteurs, afin de garantir une relation durable et bénéfique pour tous.

En ce qui concerne les produits spécifiques, McDonald’s souligne que le blé utilisé dans ses pains à burger est intégralement français. De même, le poulet des célèbres nuggets provient exclusivement de deux fournisseurs français, ce qui garantit une traçabilité et une qualité optimale.

Concernant les frites, elles sont confectionnées à partir de pommes de terre françaises, transformées dans une usine située en France. Cependant, il est important de noter que les potatoes sont quant à elles fabriquées aux Pays-Bas.

Depuis les années 1990, McDonald’s communique régulièrement sur l’origine de ses steaks dans le but de rassurer les consommateurs et les agriculteurs. Cette transparence et cette traçabilité sont des priorités pour l’entreprise.

Dans un souci d’adaptation au marché français, McDonald’s a également introduit des fromages AOP (Appellation d’Origine Protégée) et des burgers à base de viande charolaise, qui sont très appréciés des consommateurs français.

Malgré ces efforts, une partie de l’approvisionnement en viande de McDonald’s n’est pas d’origine française. En effet, certaines viandes proviennent d’Irlande et des Pays-Bas. Toutefois, l’entreprise s’engage à travailler avec la filière bovine pour améliorer son approvisionnement en bœuf français.

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En conclusion, McDonald’s France confirme son engagement envers l’agriculture française en utilisant des matières premières majoritairement locales. Cependant, l’entreprise reconnaît qu’il reste des améliorations à apporter, notamment en ce qui concerne l’approvisionnement en viande bovine française.