Devant le Palais de Tokyo, à Paris. – François Mori / AP / SIPA

Sept nouveaux départements ont emménagé dans la « zone de trafic actif » du
COVID-19[feminine, ou «zone rouge», qui porte à 28 le nombre de départements où des mesures renforcées peuvent être adoptées contre le virus, a annoncé un décret publié dimanche au Journal officiel.

Le nord, le Bas-Rhin, la Seine-Maritime, la Côte d’Or – quatre départements aux agglomérations importantes, la métropole de Lille, Rouen, Le Havre, Strasbourg, Dijon – les deux départements de Corse (Corse-du-Sud et Haute- Corse) et l’île de La Réunion sont concernées par ces nouvelles mesures.

«Pouvoirs renforcés» pour les préfets

28 départements, dont quatre d’outre-mer, sont désormais classés dans ce domaine selon ce décret qui prend effet «immédiatement». Paris et les Bouches du Rhône ont été les premiers à être classés «rouges» depuis le 14 août, compte tenu de l’intensification de la circulation du virus.

Le passage d’un département à une « zone de circulation virale active », également appelée « zone rouge », signifie que les préfets disposent de « pouvoirs renforcés » pour prendre des mesures complémentaires, sur la base de « données épidémiologiques locales ».

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