La réaction de Dimitri Payet dimanche soir après la défaite du PSG en finale de la Ligue des champions est à contester.

Du fait de la reprise de l’épidémie de coronavirus, leOlympique de Marseille Il se peut qu’ils ne joueront pas dans ce week-end de reprise de Ligue 1, la ville de Marseille a peut-être déjà connu son meilleur moment de la saison dimanche. Avec une victoire d’un premier couronnement en Ligue des champions, le PSG a finalement calé en finale contre le Bayern Munich.

Cette défaite du club de la capitale, qui laisse l’OM comme seul vainqueur en C1 depuis son sacre en 1993, a été bien accueillie comme une victoire sur Puerto Viejo. Mais les supporters marseillais ne sont pas les seuls à fêter la défaite parisienne. La même chose s’est produite avec certains joueurs ou anciens olympiens. André-Pierre Gignac, Djibril Cissé, Dimitri Payet et Christopher Rocchia se sont ouvertement réjouis de l’échec des troupes de Thomas Tuchel.

Il s’est mis en grève pour rejoindre le PSG

Si les trois premiers, tous natifs des Bouches-du-Rhône, étaient partisans de l’OM avant de s’y installer, le cas de Dimitri Payet, qui a notamment écrit “Une histoire, un club, une ville, #AJamaisLesPremiers”, est plus unique. À l’hiver 2011, quelques mois avant la prise de fonction du PSG par QSI, les sensations des Réunionnais, qui ont ensuite évolué vers Saint Etienne, ils étaient très différents. Déterminé à quitter le club du Forez, l’ancien nantais a souhaité rejoindre … le club de la capitale. A tel point qu’il n’a pas hésité à se mettre en grève pour forcer la main à ses dirigeants.

Le milieu de terrain, dont certaines photos avec le maillot du PSG sur le dos n’ont cessé de fleurir sur Twitter, s’est expliqué dans les colonnes de L’équipe. « J’ai fait mon choix, je veux rejoindre le PSG pour atteindre mon objectif qui est de disputer l’Euro 2012 », de confiance en particulier, en ajoutant: ” En rejoignant Paris, j’aurai six mois pour m’adapter à mon nouveau club et un an pour faire une belle saison avant l’Euro. »

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D’autres plaintes ont été déposées depuis dimanche soir auprès du milieu de terrain marseillais, si prompt à se moquer des Parsiens: un bilan limité à une Coupe de la Réunion et surtout son palmarès face au PSG, laissant l’OM dans une série de 20 matches sans s’imposer contre. le club de la capitale.

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  • 1/12

    Le PSG marque contre le Bayern

    La grimace de Neymar, qui n’a pas été à la hauteur.

  • 2/12

    Navas (6)

    Le gardien costaricien, pas à 100% physiquement, a fait le match qu’il pouvait. Il a été sauvé par son poteau droit (22e) avant d’effectuer un arrêt décisif dans une reprise de la tête de Lewandowski (31e). Il a également capturé un centre puissant de Kimmich (45º + 1). Impuissant à l’ouverture de la partition (59º).

  • 3/12

    Balayeuse (4)

    Il a mis beaucoup d’énergie en début de match dans son couloir droit, à la fois défensivement et offensivement, même s’il était à nouveau limité sur le ballon. Coman a accéléré et le défenseur allemand a sauté à l’eau. Il aurait pu donner un penalty à l’ailier français (45º + 1), il l’a dépassé dans l’ouverture du marqueur de tête de Coman (58º) et dans un 2e centre vers le même joueur (61º).

  • 4/12

    Thiago Silva (6)

    Toujours aussi lucide, il multiplie les punts en première période et sauve même son équipe juste après le premier match (63e). Il a été passé comme toute la défense au but (59º) et a été averti pour une faute sur Lewandowski (83º).

  • 12/5

    Kimpembe (7)

    Il semblait aussi extrêmement concentré et enchaînait des interventions plus ou moins faciles (17, 22, 44, 50, 61, 87), dont une déviation de la tête décisive juste après le but (61). Ce n’était pas suffisant contre cette équipe exceptionnelle du Bayern. Müller (44e) a obtenu un bon crochet.

  • 6/12

    Bernat (5,5)

    Il a beaucoup travaillé défensivement et a fait ce qu’il pouvait, abandonné par Mbappé en première période. Il a laissé Lewandowski frapper le poteau (22e) mais a fait une tête (40e). Remplacé en 80 par un Kurzawa trop salissant.

  • 12/7

    Forgeron (6)

    Présent pour son travail d’intimidation, il a été agressif dès le départ. Même s’il a perdu un ballon dangereux (12e), il a donné deux magnifiques balles de but (23e et 45e). Mais au fil du temps, il a eu du mal à résister à la contre-pression et n’a eu aucune influence sur la reprise.

  • 8/12

    Marquinhos (6)

    Encore une fois, il a été précieux pour se remettre de la charnière centrale, sa science défensive lui a permis d’effectuer des interventions «faciles» (12, 30, 42, 56, 73) et il était solide dans les airs. Au redémarrage, il a joué le plus facilement possible et a fini par parier sur des balles longues. Il a échoué face à face devant Neuer (70 °).

  • 12/9

    Murs (4,5)

    Il a eu un premier quart d’heure très prometteur dans un rôle de leader à distance. Après une superbe ouverture de Mbappé (15e), il a disparu de la circulation avant le passage à tabac de l’adversaire. Il n’a pas réussi à mener le match et Verratti a pris le relais à la 65e minute sans retrouver ses attaquants.

  • 10/12

    Marie (6,5)

    Le meilleur joueur parisien du jeu. Et encore une fois, le jeu n’est pas tout le temps qu’il passe bien. S’il frappait, mais à droite (23e), alors il effectuait un dangereux centre en direction de Mbappé (67e) et offrait cette superbe passe cachée à Marquinhos (70e). Demandez-moi pourquoi Tuchel l’a publié avant les 10 dernières minutes.

  • 11/12

    Neymar (3)

    Après ses deux performances XXL, il n’a guère fait de différence. Fait intéressant, il a beaucoup couru au niveau de la pression, en particulier à Boateng, et a peut-être perdu un peu d’énergie rapidement car il accélérait rarement le plein axe. Il n’a pas saisi sa chance face à Neuer (18e) et n’a pas trouvé le cadre (74e). Il a plongé dans la seconde période avec des contrôles ratés (76, 78, 79).

  • 12/12

    Mbappé (4)

    Avant gauche, il a posé des problèmes en début de match dans son couloir. En particulier, il a offert une belle opportunité à Neymar (18e), mais n’a pas marqué sur deux buts (14e et 15e) et a raté une belle occasion (45e). De toute évidence, Tuchel lui a demandé de se défendre davantage à son retour des vestiaires et avait l’air épuisé depuis le milieu de la seconde période.

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