La fondation de l’Académie de médecine a proposé la création d’un groupe d’experts internationaux pour étudier les effets des molécules chimiques sur la santé, similaire au Giec du climat. Environ 40 000 à 60 000 produits chimiques polluants sont commercialisés dans le monde. Ces produits, bien qu’utiles dans notre vie quotidienne, peuvent entraîner une pollution du sol, de l’eau et de l’air, provoquant ainsi des décès prématurés et divers problèmes de santé.

Les liens entre la pollution chimique et la santé ne sont pas suffisamment documentés, d’où l’appel à la création d’un groupe international d’experts sur les pollutions chimiques. Il est essentiel de mettre à jour régulièrement les connaissances scientifiques sur ces pollutions chimiques et de rédiger des rapports pour les décideurs afin de mieux prévenir les risques. L’ONU a également reconnu la pollution chimique comme l’une des trois crises planétaires, aux côtés du climat et de la biodiversité.

Ainsi, la création d’un Giec de la chimie, des déchets et des pollutions est en discussion et a été actée par l’ONU lors d’un sommet au Kenya il y a deux ans. Une réunion de travail est prévue en Suisse en juin prochain pour progresser sur ce sujet. Les molécules chimiques se retrouvent partout dans l’environnement, que ce soit dans les matériaux de construction, les médicaments ou l’alimentation. Leur accumulation peut avoir un impact significatif sur la pollution.

Il est primordial de prendre des mesures pour mieux comprendre les effets de ces molécules sur la santé humaine. C’est dans cette perspective que la fondation de l’Académie de médecine a suggéré la création d’un groupe d’experts internationaux spécialisés dans les pollutions chimiques, sur le modèle du Giec pour le climat.

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Selon les estimations, entre 40 000 et 60 000 produits chimiques polluants sont commercialisés à travers le monde, et leur accumulation dans l’environnement représente une menace réelle pour la santé publique. En effet, cette pollution peut provoquer des décès prématurés et divers problèmes de santé, notamment des troubles respiratoires et des maladies chroniques.

Il est donc crucial de mieux documenter les liens entre la pollution chimique et la santé afin de prévenir ces risques. Pour cela, il faut mettre à jour régulièrement les connaissances scientifiques dans ce domaine et produire des rapports à destination des décideurs politiques.

C’est pourquoi l’ONU a désigné la pollution chimique comme l’une des trois crises planétaires majeures, aux côtés du changement climatique et de la perte de biodiversité. Par conséquent, la création d’un Giec de la chimie, des déchets et des pollutions a été discutée et approuvée lors d’un sommet au Kenya il y a deux ans. Une réunion de travail est prévue en Suisse en juin prochain pour faire avancer cette initiative.

En conclusion, il est nécessaire d’agir rapidement et efficacement pour comprendre et prévenir les dangers de la pollution chimique sur la santé humaine. La création d’un groupe d’experts internationaux spécialisés dans les pollutions chimiques est une étape cruciale pour y parvenir.