Dans une interview avec L’équipeWesley Fofana a annoncé son intention de quitter l’ASSE pour rejoindre Leicester, faisant pression sur ses dirigeants pour obtenir sa sortie.

La situation est tendue à l’AS Saint-Etienne. Si l’opération de réduction souhaitée par les dirigeants de Saint-Etienne commence à porter ses premiers fruits, comme en témoigne le transfert de Lois Diony via Angers et que sur le bon chemin de Yann M’Vila en direction d’Olympiakos, c’est une autre sortie qui Il est susceptible d’animer les prochaines semaines, celle de Wesley Fofana.

Les managers de Saint-Etienne comme leur entraîneur, Claude Puel, ont peut-être répété ces dernières semaines qu’il ne s’agissait pas de laisser sortir son jeune défenseur, qui devait oublier Loïc Perrin et William Saliba, le Marseillais est monté au marbre dans les colonnes de L’Equipe pour réclamer son transfert à Leicester. Et sa décision semble irrévocable.

Une décision motivée notamment par le ” les insultes “ il fait l’objet, ainsi que sa famille, y compris sa petite sœur au lycée, des premières rumeurs de transfert. ” Ce qui vient de se passer a brisé quelque chose en moi », a-t-il assuré, reconnaissant sans difficulté que le facteur économique a également joué un rôle important dans sa décision.

Je serais fou si je disais non à Leicester

«Ma décision est prise: j’accepte une offre (celle de Leicester). Cette fois, je ne peux pas refuser. D’où je viens, les quartiers nord de Marseille et une famille pauvre, ce n’est pas possible. Je serais fou si je disais non à Leicester Il a lancé. Ce contrat peut changer ma vie. Je dois protéger ma famille en la gardant en sécurité. Combinant l’aspect sportif et financier, je dois dire oui. “

Et le défenseur de Stéphanois a montré son malaise dans le Forez, expliquant qu’il s’était ouvert à son entraîneur, mais sans succès. “ JJe suis allé voir l’entraîneur hier matin pour lui dire ce qui s’est passé, que je ne vais pas bien et que je veux y aller. J’ai essayé mais je n’ai pas pu discuter de mes problèmes avec lui il faisait confiance. Ce n’est pas grave. Je me débrouille tout seul. J’en ai l’habitude. Comme j’étais fermé à la discussion, nous avons parlé de l’athlète, pas de ma vie privée. “