Emmanuel Macron ne sera pas présent à la marche contre l’antisémitisme qui se déroulera ce dimanche 12 novembre à Paris. Selon son entourage, le président considère ces rassemblements comme “un motif d’espérance” dans la lutte contre l’antisémitisme et apprécie leur soutien à cette cause.

Malgré son absence physique, Emmanuel Macron reste engagé dans la lutte contre toutes les formes d’antisémitisme et salue les rassemblements qui contribuent à la sensibilisation et à la mobilisation de la société. La présence de plus de 3 000 policiers et gendarmes est prévue pour assurer la sécurité de cette marche.

Cependant, la marche contre l’antisémitisme divise la classe politique française. Certains partis politiques, tels que La France insoumise, ont annoncé qu’ils ne participeraient pas en raison de la présence du Rassemblement national, considéré par eux comme un parti d’extrême droite.

Malgré ces divergences, d’autres partis politiques, tels que Renaissance, EELV et le Parti socialiste, seront présents lors de cette marche malgré leurs réserves. Ils estiment que la lutte contre l’antisémitisme est une cause qui dépasse les clivages politiques et nécessite une mobilisation collective.

Cette marche contre l’antisémitisme est organisée suite à une série d’actes antisémites qui ont choqué la France ces derniers mois. Elle vise à exprimer une solidarité et à condamner fermement ces actes odieux. Le rassemblement servira également à rappeler l’importance de la tolérance et de la cohabitation pacifique entre les différentes communautés religieuses présentes dans le pays.

En conclusion, bien que le président Emmanuel Macron ne soit pas présent physiquement à la marche contre l’antisémitisme, il soutient cette initiative et considère ces rassemblements comme un pas vers l’espoir dans la lutte contre l’antisémitisme. Cette marche divise la classe politique française, certains partis choisissant de ne pas y participer, tandis que d’autres estiment que la cause est suffisamment importante pour dépasser les clivages politiques et mobiliser collectivement.

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