Juste avant d’entrer pour voir L’homme qui a vendu sa peau en 2021 Festival du film français de l’Alliance française, un grand groupe est soudainement sorti du théâtre attenant de Palace, James Street; une salle pleine apparemment, quelque chose qui n’a pas été vu depuis un moment. «Qu’avez-vous vu?», Avons-nous demandé à l’un des clients de passage. ‘Oh c’était Antoinette dans les Cévennes‘, elle a dit. ‘De même que?’ «Eh bien, très divertissant», fut sa réponse. Ce film, une comédie acclamée, est maintenant sur ma liste.

Le festival 2020 venait de commencer lorsque, à peu près à la même époque l’année dernière, nous nous sommes enfermés. Comme les FFF précédents, les projections actuelles sont mitigées, mais nous semblons plus que prêts à nous attaquer à ce programme de 76 films. Les cinémas français sont toujours fermés actuellement, nous en voyons donc plusieurs avant leur sortie en France. Il y a plus d’une douzaine de drames, un nombre similaire de comédies, étonnamment moins d’histoires d’amour, bien que l’emblématique (et récemment restaurée) Halètement répété. Trois biopics sont proposés avec l’un d’eux, De Gaulle, étant mon bref focus ici. Les deux autres sont Eiffel, la présentation de la soirée d’ouverture (oui, Gustave Eiffel et sa tour), et Pour s’aligner, une biographie fictive basée sur Céline Dion.

L’action en mouvement chez Gabriel Le Bomin De Gaulle elle se déroule pendant quelques semaines à partir de mai 1940. On le sait car les dates apparaissent régulièrement à l’écran marquant chaque jour et chapitre successifs. Ce sont des jours terribles où l’armée allemande s’approche et traverse sans relâche la France, l’armée française s’effondre et les nazis procèdent à la prise de Paris. Refusant d’accepter l’armistice de son gouvernement avec l’ennemi, le nouveau général De Gaulle (Lambert Wilson) – voulant changer le cours de l’histoire – s’enfuit à Londres pour gagner le soutien de Winston Churchill (Tim Hudson) et de son gouvernement. «Peut-être que nos deux comtés pourraient ne faire qu’un?» Suggère un délégué français; «Non, Monsieur», fut la réponse rapide.

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Tout au long, l’histoire du général se mêle habilement à la double histoire de sa vie de famille, en particulier celle de son épouse Yvonne (Isabelle Carré), en mettant l’accent sur l’amour qu’ils partagent pour leur jeune fille handicapée Anne (Clémence Hitten). Avec de Gaulle au Royaume-Uni, sa femme et ses enfants cherchent désespérément à fuir la France et le font enfin sur le dernier navire surpeuplé quittant Brest. Deux des scènes les plus dramatiques arrivent vers la fin du film: l’audacieuse émission du 18 juin de De Gaulle sur la BBC exhortant les Français à résister à l’occupation et à poursuivre la lutte, suivie peu après par la joyeuse réconciliation de la famille à Londres. En fin de compte, le film est loin de l’histoire mémorable.

C’était peut-être une bonne production pour le petit écran, mais au moins nous aurions eu une série de six épisodes. On en voulait un peu plus et, s’il y avait eu une série, ça se serait prolongé au-delà de 1940, y compris, de retour en France: la présidence de de Gaulle du gouvernement provisoire de la République française (1944-1946), et jusqu’en 1958 où il quitte son retraite, il a réécrit la constitution française et a été élu président de la Ve République plus tard cette année-là, poste pour lequel il a été réélu en 1965 et qu’il a occupé jusqu’à sa démission en 1969. Apparemment, sa vie et sa carrière ont été extraordinaires. Et la série aurait sûrement impliqué un bel acteur français mature jouant le timide André Malraux, Premier ministre français des Affaires culturelles sous la présidence de De Gaulle. Malraux était également romancier, poète, théoricien de l’art et, pendant la guerre, membre de la Résistance française. Dans le nouveau gouvernement d’après-guerre, il considérait comme sa mission de préserver l’héritage de la France et de développer la culture du peuple, ainsi que de ramener le monde des arts en France et dans sa capitale. Concernant ce dernier, et avec l’oreille de Malreax et le soutien du ministère, ce sont Félix et Simone Brunau qui ont pu inaugurer les ateliers et espaces de travail de la Cité internationale des arts à Paris pour des artistes du monde entier, nombreux à travers le monde. les années australiennes. (et Queensland).

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D’ailleurs, L’homme qui a vendu sa peau (à propos d’un réfugié syrien bien payé pour être encré et exposé dans un musée bruxellois), c’est mon film FFF préféré sur la demi-douzaine que j’ai vu jusqu’à présent. Il est inspiré d’un projet de 2008 de l’artiste belge Wim Delvoye, qui a conçu un tatouage de dos élaboré pour Tim Steiner de Zurich; l’œuvre a ensuite été vendue à un collectionneur d’art allemand. À la mort de Steiner, sa peau sera encadrée, jusque-là, il passe sa vie assis dans des galeries sans chemise. Actuellement Tim peut être visionné à MONA à Hobart via un lien vidéo en direct.

De Gaulle jes affiché dans le cadre du Festival du film français 22 mars au 9 avril au Palace James Street et Palace Barracks

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