Six policiers blancs du Mississippi ont révélé avoir torturé pendant deux heures deux Afro-Américains. Les policiers ont utilisé des méthodes atroces, allant d’un godemiché à des tasers, en passant par une épée, pour infliger des souffrances aux victimes. De plus, ils ont même tiré dans la bouche de l’une d’entre elles.
Cette affaire est malheureusement un exemple alarmant de comportement policier motivé par des préjugés racistes et de la haine. Certains de ces policiers faisaient partie de la tristement célèbre “Brigade des voyous”, connue pour ses actes de brutalité excessive.
Les policiers accusés font actuellement face à la justice et ont été suspendus de leurs fonctions. Les victimes, quant à elles, ont été soumises à des humiliations extrêmes, menottées et insultées avec des propos racistes. Elles ont également subi des violences sexuelles dégradantes, notamment par le biais de l’ingestion forcée d’alcool et d’autres liquides.
L’une des victimes a même été grièvement blessée lorsque l’un des policiers a introduit son arme de service dans sa bouche et a tiré sur elle, la blessant au cou. Face à ces actes odieux, les policiers ont tenté de détruire les preuves en saccageant la vidéosurveillance de la maison où les sévices ont eu lieu, ainsi qu’en brûlant les vêtements des victimes. De plus, ils ont menti aux enquêteurs et falsifié des rapports.
Malheureusement, certains de ces policiers ont déjà plaidé coupable dans une autre affaire de violence policière, ce qui soulève des questions concernant la culture et les pratiques au sein des forces de l’ordre. Cette affaire choquante suscite l’indignation et appelle à une réforme en profondeur du système de justice pour garantir que de telles atrocités ne se reproduisent pas à l’avenir.
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